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Au gré du temps...

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19 septembre 2007

Quand je brode...

     Comme ma joie est douce quand j'épanche mon cœur!
          En croisant sur la toile un panier de couleurs
               Car dans ma broderie je mets toute mon âme
                    En tirant mon aiguille au-dessus de la trame!

Écrit ce jour 19 septembre 2007, pour toutes mes copines et amies brodeuses.

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3 juin 2007

La Fête des Mères,

Poesie_la_fete_des_meres_3_06_07

C'est la fête  aujourd'hui de toutes les mamans
Porteuses de la vie et pour le fil des âges.
Napoléon disait: "je te dois tout maman!"
Il désirait déjà lui rendre doux hommages.

Le tout dernier dimanche, en chaque mois de mai
Un symbole de joie et de tendresse immense
Résonne dans le cœur des enfants désormais
Dans tous les coins du monde, à chaque coin de France.

Ainsi l'heureux humain, noblesse de l'amour,
D'une unique façon honore ce beau jour,
Qu'il soit fruit de passion ou de folle romance

Car au fond de son être, il est conscient en lui
Que c'est grâce à sa mère, à l'heure d'aujourd'hui,
Qu'il est ici sur terre et lui doit sa naissance.

Sonnet écrit le 30 mai 1999 à St Jean de Monts

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La fête des Mères est toujours célébrée le dernier dimanche du mois de mai. Cependant, lorsque La Pentecôte tombe ce jour, celle-ci est alors décalée au dimanche suivant, soit le 1er dimanche du mois de juin.

Napoléon en 1806 avait souhaité que l'on honore les mamans une fois dans l'année, au printemps. Mais "la première Fête des Mères" aura été instauré en 1941 sous le régime de Vichy, par le maréchal Pétain.

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L'historique de La Fête des Mères

3 juin 2007

Pour toi maman,

poesie_pour_toi_maman

Je t'offre ce matin ces trois boutons de roses.
Tu pourras si tu veux les mettre sur ton cœur.
Pour montrer mon amour, cela n'est pas grand chose
Mais caché dans ces fleurs se trouve le bonheur.

Je veux te remercier de m'avoir mise au monde:
C'est toi qui l'as donné le plus beau des présents,
M'as fait connaître aussi la joie humble et profonde
De devenir moi-même une heureuse maman.

Car ainsi va la vie: on devient une mère
Qui saura plus que tout adorer ses enfants
Mais voudra chaque jour dans la même prière
Que sa fille à son tour devienne une maman.

J'ai compris tout cela. Sache combien je t'aime!
Comme toi, je me dis et pense à chaque instant
Que rien ne vaut la joie et l'amour que l'on sème;
Il n'est pas plus heureux que d'être une maman!

J'ai écrit cette poésie en 1986 pour l'offrir le jour de Noël, cette année là, à ma maman.

*************************


J'aurais pu offrir ce poème à ma maman tout aussi bien un jour de fête des mères. C'est pourquoi je la place ce jour justement sur mon blog.

Je suis restée une petite fille au fond de moi alors que je suis déjà mamie. Alors, j'avais tout simplement envie de dire à ma maman combien elle comptait toujours beaucoup pour moi.

Et qu'elle soit encore de ce monde, ou bien qu'elle nous ait quittés, rien n'est plus beau qu'une maman dans le paysage de nos souvenirs.

14 mai 2007

Bon anniversaire maman!

Ma chère Maman,

Quatre vingts, pas assez, pour toi pas suffisant!
Alors, nous ajoutons aujourd'hui, plus cinq ans.
Je viens te souhaiter un Bon Anniversaire
Ma petite maman, ma tendre et chère mère.

Nous nous sommes peu vues durant ces derniers mois:
Moins d'instants partagés, moins d'échanges d'émois.
Mais dans mon cœur pourtant quand je cherche la trace
De souvenirs lointains, t'as la première place.

Je te la laisserai malgré nos désaccords:
Une Mère est La Vie, le plus beau des trésors.
On ne peut l'oublier, qu'importe le sillage

Et la route qu'on prend pour nos autres amours.
Elle est notre lumière et le sera toujours:
Son sourire et ses yeux, le plus beau paysage.

Ta fille

J'ai écrit ce sonnet le 9 mai 2007 pour l'offrir ce jour à ma maman.
Je m'en vais de ce pas le lui porter ainsi qu'un bouquet de fleurs fraîchement cueillies dans le jardin.

11 mai 2007

Un seul peut nous juger

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Toi qui donnas sur terre ô combien tant d'amours,
Qu'à peine au paradis pour y trouver ton ange,
Volent par dessus toi, tournent quelques vautours
Pousser par une faim curieuse et bien étrange!

Certains disent: "C'est bien!". D'autres sont affligés.
Je pense: "Un peu trop tôt!" Laissons en paix ton âme,
Au moins un certain temps. Pourquoi déjà figer
Une ultime photo et livrer ton image

A la curiosité? C'est peu de compassion!
Vrai quel abaissement ta stèle en donation!
Le voyeurisme aura toujours sa part de rêve...
Des esprits volent bas comme le tien s'élève.

Le Plus Haut jugera et Lui seul, nos actions.
Je ne sais quoi penser sur ces faits de passions.
Je préfère ici-bas, sur la terre, à cette heure
Ma douce poésie au fond de ma demeure.

Écrit ce jour, 11 mai 2007

J'ai juste composé cette poésie parce que je trouve dommage que certaines personnes "s'approchent" aussi vite de la dernière demeure de Grégory Lemarchal décédé il n'y a pas trois semaines, juste par curiosité... pour certains je suppose... et pour vendre du papier pour d'autres...

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5 mai 2007

Merci Grégory!

poesie_Merci_Gregory

Tu brillais ici-bas un peu comme une étoile
Quand ton souffle affecté poussait la grande voile
De ta vie. Par ton chant, tu te transfigurais
Et tu nous transportais, et tu nous subjuguais.

Dépassant les montagnes par ton unique force
Combien ta foi t'aida! Fi, la douleur atroce
Se fichant sur ta route! Toi, tu visais plus haut,
Pour donner toujours plus et toujours le plus beau.

Mais d'où sortait ta voix? C'était par trop étrange...
Un vrai miracle en somme. Venait-elle d'un ange?
Tes yeux qui scintillaient quand la note montait!
Ton corps qui se cambrait  quand le bonheur tombait!

Bonheur que tu mordais en gardant l'espérance
Le sort ne t'ayant pas donné sa part de chance:
Tes jours étaient comptés, tu le savais trop bien
Or, tu vivais l'instant sans te plaindre de rien.

Le spectacle est en deuil: ta petite étincelle
S'en est allée chercher l'autre Vie, l'Eternelle.
Tu resteras pour tous un merveilleux soleil
Qui saura éclairer nos cœurs chaque réveil.

L'on n'aura vu de toi que belle et pure image.
Repose en paix ton âme. Merci pour ton passage!
Aussi pour ce cadeau composé de ta main
Que tu nous as laissé, simplement, pour demain:

Une belle chanson, la dernière, l'ultime,
Qui nous montre, ô combien, tu fus vraiment sublime.
Ta scène est désertée mais tout n'est pas fini:
Nous lutterons pour toi mon petit Grégory.

Écrit ce matin 5 mai 2007.

J'ai regardé l'émission spéciale consacrée à Grégory Lemarchal hier soir sur TF1: "La voix d'un ange". J'ai encore pleuré et je me trouve bien bête, assurément.
Mais, j'aimais beaucoup "le jeune artiste chanteur" qui avait plein de talent et surtout "la personne" qu'était Grégory. Grâce à lui, j'ai découvert, comme beaucoup de personnes je suppose, ce qu'était la terrible maladie dont il souffrait, la mucoviscidose. L'espérance de vie de ces 6000 jeunes rien qu'en France qui souffrent de celle-ci est de 24 ans environ.

Je n'ai pas téléphoné pendant l'émission mais ce jour, j'offre un peu de mon porte-monnaie.* Ceci afin que des chercheurs puissent continuer à combattre la maladie. Tout un chacun peut être confronté dans sa propre famille à la mucoviscidose un jour. Maintenant que je connais un peu mieux cette maladie, je ne voudrais pas regretter
plus tard un geste qu'il m'est facile de faire aujourd'hui.

Depuis lundi, je suis un peu comme à côté de "mes pompes"? Je suis bien loin de la hauteur de Grégory. Il nous aura tant montrer qu'avec du courage et de la volonté, on pouvait gravir des montagnes et atteindre parfois ce que d'autres croiraient impossible. Il avait une force de caractère et un charisme comme peu en possèdent.

Quelle belle leçon de vie et de bravoure il aura montrer à tous!
Merci Grégory!

* Vous pouvez faire des dons en allant ICI .
Encore par courrier: "Vaincre la mucoviscidose - 181 rue de Tolbiac - 75 013 Paris.

14 février 2007

Si tu reviens...

Si tu reviens, moi j'oublie tout,
Mon amour fort, mon amour fou.
Si tu reviens, je te pardonne.
On coupera le téléphone,

J'oublierai tous les mauvais jours
Pour ne garder que nos amours.
Je le dis à la terre entière,
Je le jure et je suis sincère.

Si tu restes, je suis d'accord
Pour te choyer jusqu'à ma mort,
Pour te donner ces étincelles
Qui rendent les choses plus belles.

Je ne ferai que ton plaisir
Dans les jours de ton avenir,
Je vivrais que pour toi en somme
Comme si t'étais le seul homme.

Je laisserai tous mes orgueils
Et j'oublierai tous nos écueils.
Plus le temps va, plus le temps passe
Ma vie, de toi, non ne se lasse.

Je suis prête à te pardonner
Tout ce que tu sais pas donner.
Tu me souris, tu me consoles,
Je pense alors que je suis folle

Quand tu me dis que ton soleil
C'est moi le matin au réveil.
Je me réconforte, on s'embrasse.
Mais pourquoi donc je me tracasse?

Toi et moi c'est bien plus qu'un tout:
Je me noie dans notre amour fou.
On a toujours poser nos armes
Entre nos rires et nos larmes.

Poésie écrite en novembre 2006.

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"Le plaisir des disputes, c'est de faire la paix." Alfred de Musset

J'offre ce "gentil" poème sur mon blog, en ce jour de la St Valentin.
Je pense qu'il pourrait bien être l'apanage de beaucoup de couples.
Mais combien j'aimerais que la maxime que j'y ai ajoutée puisse être également la panacée de tous ceux qui ne savent plus aujourd'hui ce que veut dire "pardonner" . Je sais, je suis une utopiste!

23 décembre 2006

Noël,

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Noël est un jour merveilleux,
Plein de cadeaux, de jeux,
De tas de jouets, de surprises,
Et de beaucoup de friandises.

     On pourrait même en oublier
     Devant notre petit soulier
     Que le principal du message
     Est d'abord le sens du partage.

          Rappelons-nous du haut des cieux,
          Ce fils que nous a donné Dieu
          Pour nous montrer combien inonde
          L'Amour tout au-dessus du monde.

Poésie écrite en 2003.

14 décembre 2006

Pour toi,

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Lorsque j'étais petite fille
J'aimais jouer "A la Maman"
Mais aujourd'hui j'ai ma propre famille
Puisque je t'ai toi, et nos trois enfants.

Il est des moments où s'est difficile,
Tu seras d'accord je pense avec moi,
De garder toujours un foyer paisible,
D'y faire régner à jamais la foi.

Parfois notre amour connait des faiblesses.
Nous ne savons plus alors nous aimer
D'un nouvel élan empli de tendresse
Il faut ranimer nos deux cœurs blessés.

Comme des enfants après une faute,
Nous nous retrouvons, tout est oublié
Car que ferions-nous vraiment l'un sans l'autre?
Mon cœur quant à lui ne peut que t'aimer!

Écrit en
1986


"Le plaisir des disputes est de faire la paix." Alfred de Musset

4 novembre 2006

Chère Vj,

 

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Nous sommes quatre amies. Chacune et tour à tour
Aura brodé pour toi. Notre plaisir ce jour
Est de pouvoir t'offrir ce fruit de passionnées,
Ce modeste présent: des rouges croix données
Dessus un peu de toile et fait pour recouvrir
Les pages d'un cahier. Te reste à les couvrir
De ce qu'il te plaira: quelques photographies,
Des mots doux et charmants, pourquoi pas des folies?

Avec toute l'amitié de quatre brodeuses.

J'ai écrit cette petite poésie pour l'offrir à Vj .

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Je l'ai copiée à la plume sur une simple feuille. Nous l'avons signée tour à tour mes copines et moi-même car elle venait compléter le cadeau commun broder sur lequel nous avions posé chacune nos petites croix. Nous souhaitions la remercier d'avoir si bien mener le SAL "Winterland" de Bent Creek auquel nous avions toutes les quatre participé.
Si vous souhaitez voir le cadeau que nous lui avons ainsi offert, c'est ICI .

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