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Au gré du temps...
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19 mai 2015

La théorie des cuillères de Christine Misorandino

Voici un texte que j'ai trouvé au cours d'une de mes balades sur la toile. Il concerne le lupus

J'ai trouvé les explications de cette maladie si réalistes, tellement parlantes, que je décide d'en faire profiter les personnes atteintes comme moi par la fibromyalgie. Il y a tellement de maux qui se ressemblent entre ces deux sympômes, le lupus et la fibromyalgie!

Pour une meilleure compréhension du quotidien, ce texte peut tout aussi bien être destiné à l'entourage d’une personne souffrant d'un autre handicap, d'une maladie, en plus des deux que j'ai précitées.

Personnellement, j'entends tellement:
"Mais, vous n'avez même pas l'air malade!"
ou 
"Mais, tu as pourtant l'air en pleine forme!"

Quand je n'entends pas:
"Tu sais, moi aussi j'ai "mes" douleurs! Comme tout le monde!
ou encore:
"Oh, si on s'écoutait, on aurait mal partout, tout pareil que toi!"

... etc. ...

15 04 19 ligne 1 rose 

"La Théorie des cuillères" de Christine Miserandino

- adaptée en français par Louyse Trudel -

15 04 19 Spoon Girl

Ma meilleure amie et moi étions sorties pour le souper et nous bavardions. Il était très tard et à notre habitude, nous mangions des frites dans de la sauce. Telles des filles de notre âge, nous passions beaucoup de temps dans ce resto, pendant nos années de collège, à parler des garçons, de la musique et d’autres choses ordinaires qui nous semblaient tellement importantes en ce temps-là. Nous n’étions jamais sérieuses et passions notre temps à rire et à nous amuser.

Comme il était l’heure de mes médicaments, que je m’apprêtais à les prendre avec une collation, comme je le faisais habituellement, mon amie me regarda comme si elle me voyait pour la première fois, d’un regard neuf et un brin bizarre, plutôt que de continuer notre conversation. Elle m’a demandé, à brûle-pourpoint, comment je me sentais avec mon Lupus et ce que ça faisait d’être malade. Ça m’a surprise. Non seulement parce qu’elle posait cette question, subitement, mais surtout parce que je croyais qu’elle connaissait tout ce qu’il y avait à savoir au sujet du Lupus. Elle m’accompagnait chez le médecin, elle me voyait marcher avec une canne, elle m’avait vue vomir dans la salle de bain. Elle m’avait vue pleurer de douleur… Qu’y avait-il de plus à savoir?

J’ai commencé à parler rapidement des pilules, des maux et des douleurs, mais elle ne semblait pas satisfaite des réponses que je lui apportais. J’étais encore surprise parce qu’elle était ma colocataire et mon amie depuis des années… Je pensais qu’elle connaissait déjà la définition médicale du Lupus. Alors, elle m’a regardée avec une expression que chaque personne malade connaît trop bien. Avec le visage de la curiosité pure au sujet de quelque chose qu’une personne bien portante ne peut vraiment comprendre. Sa vraie question était ce que je ressentais, pas physiquement, mais ce que c’était d’être moi, d’être malade.

Comme j’essayais de me composer une attitude sereine, j’ai regardé la table pour trouver de l’aide ou au moins, pour gagner du temps pour réfléchir à la réponse que je lui donnerais. J’essayais de trouver les bons mots. Comment répondre à une question à laquelle je n’avais moi-même pas encore trouvé de réponse? Comment expliquer chaque détail de chaque journée affectée par la maladie? Comment rendre clairement les émotions d’une personne malade? J’aurais pu laisser tomber, et, comme d’habitude, lui servir une blague et changer de sujet, mais je me souviens maintenant avoir pensé que si je n’essayais pas de lui expliquer, je ne pourrais jamais m’attendre à ce qu’elle comprenne. Si je ne peux pas expliquer ceci à ma meilleure amie, comment pourrais-je faire comprendre mon monde à qui que ce soit d’autre? Je devais au moins essayer.

À ce moment même, "La théorie des cuillères" était née. J’ai rapidement pris toutes les cuillères qui se trouvaient sur la table… J’ai aussi pris toutes les cuillères des tables avoisinantes! Je l’ai regardée droit dans les yeux et j’ai dit: "Voici, tu as maintenant le Lupus". Elle m’a regardée d’un drôle d’air, décontenancée, comme n’importe qui aurait pu l’être si on lui avait donné un bouquet de cuillères! Le métal froid des cuillères s’entrechoquait dans mes mains, alors que je les regroupais avant de les flanquer dans les siennes!

Je lui ai alors expliqué que la différence entre être malade et être en santé tient dans le fait de devoir faire des choix ou d’avoir constamment à penser à des choses dont les autres n’ont pas à se soucier. Les gens en santé ont le luxe d’une vie sans ces choix, un cadeau que la majorité des gens tiennent pour acquis.

La plupart des gens, particulièrement les jeunes, commencent leur journée avec une montagne de possibilités, sans s’y arrêter, et l’énergie de faire tout ce qu’ils désirent. Pour la plupart, ils n’ont pas à se soucier des effets de leurs actions. Alors, pour mon explication, j’ai utilisé des cuillères pour l’illustrer. Je voulais quelque chose de concret, qu’elle pourrait tenir et que je pourrais lui enlever, puisque chaque personne qui tombe malade ressent une espèce de sentiment de « perte » de la vie qu’elles avaient « avant ». Si je pouvais lui enlever des cuillères, alors elle pourrait connaître le sentiment de voir quelqu’un ou quelque chose extérieur, dans mon cas, le Lupus, être en contrôle.

Elle a pris les cuillères avec enthousiasme. Elle ne comprenait pas ce que je faisais, mais mon amie était toujours partante pour avoir du plaisir. Alors je crois bien qu’elle pensait que je lui préparais une nouvelle blague, comme je le fais habituellement en parlant de choses un peu tabou. Elle ne savait pas encore à quel point j’étais devenue sérieuse.

Je lui ai demandé de compter ses cuillères. Elle a demandé pourquoi et je lui ai expliqué que quand on est en santé on croit avoir en sa possession une réserve éternelle de « cuillères ».
Cependant, comme tu dois maintenant planifier ta journée, tu dois savoir exactement combien tu as de "cuillères" en main en partant. Et cela ne garantit pas que tu n’en perdras pas en cours de route, mais au moins, cette donnée aide à savoir où tu te situes au début de la journée.
Elle a compté douze "cuillères". Elle a ri et dit qu’elle en voulait plus. J’ai dit non et j’ai su tout de suite que ce petit jeu allait fonctionner, car elle a paru déçue, et nous n’avions même pas encore commencé.
Depuis des années, je voulais moi aussi avoir plus de "cuillères" et je n’ai toujours pas trouvé le moyen d’en avoir plus, alors. pourquoi lui en aurais-je donné à elle? Je lui ai aussi conseillé de savoir en tout temps combien elle en avait et de ne pas les laisser tomber, car elle devait toujours se souvenir qu’elle avait le Lupus.

Je lui ai demandé de dresser la liste de toutes ses tâches de la journée, en incluant même les plus simples.
En listant les tâches quotidiennes, ou les choses amusantes à faire, je lui ai expliqué comment chacune lui coûterait une "cuillère". Alors qu’elle alla directement à la tâche de se préparer pour aller travailler comme étant sa première étape du matin, je l’ai arrêtée et lui ai retiré une "cuillère". Je l’ai presque étouffée. J’ai dit: "Non! Tu ne peux pas “juste” te lever! Tu dois faire un effort pour ouvrir tes yeux et réaliser que tu es déjà en retard. Tu n’as pas bien dormi la nuit précédente. Tu dois te sortir péniblement du lit et ensuite, tu dois manger avant de faire quoi que ce soit d’autre, parce que si tu ne manges pas, tu ne pourras pas prendre tes médicaments, et si tu ne prends pas tes médicaments, tu devras alors renoncer à toutes tes “cuillères” de la journée et pour le lendemain!"
Je lui ai rapidement pris une "cuillère" et elle a réalisé qu’elle ne s’est pas encore habillée. Prendre sa douche lui a coûté une autre "cuillère", car elle devait laver ses cheveux et raser ses jambes.
Toutes ces petites choses, si tôt dans la journée, auraient facilement pu lui coûter plus qu’une "cuillère", mais j’ai voulu lui donner une chance. Je ne voulais pas lui faire peur trop rapidement. S’habiller lui a coûté une autre cuillère.
Je l’ai arrêtée et ai divisé toutes les autres tâches pour lui démontrer qu’on doit s’attarder à chaque petit détail de la vie. Tu ne peux pas simplement mettre n’importe quel vêtement quand tu es malade. Je lui ai expliqué que je dois choisir mes vêtements en fonction de mon état: si mes mains sont douloureuses aujourd’hui, je ne porterai pas quelque chose qui a des boutons. Si j’ai des ecchymoses sur les bras, je porterai des manches longues. Si je fais de la fièvre, j’ai besoin d’un chandail pour rester au chaud, etc.

Si je perds mes cheveux, je dois prendre plus de temps pour être présentable…

 

Ensuite, je m’alloue encore 5 minutes pour m’apitoyer sur mon sort, car j’ai mis plus de deux heures pour accomplir ça.

Je pense qu’elle commençait à comprendre quand, théoriquement, elle n’était même pas partie travailler et il ne lui restait plus que 6 "cuillères" entre les mains.
Ensuite, j’ai expliqué à mon amie qu’elle devait maintenant choisir les activités du reste de sa journée avec parcimonie, car lorsque les "cuillères" ont disparu, elles ne reviennent pas! Il arrive qu’on puisse emprunter les "cuillères" du lendemain… mais il faut penser combien demain sera difficile, car il y aura encore moins de "cuillères".
Je devais aussi lui expliquer qu’une personne malade vit toujours avec cette pensée que le lendemain pourrait apporter un rhume ou une infection, ou nombre de choses potentiellement dangereuses pour elle. Alors, on ne veut pas être à court de "cuillères", parce qu’on ne sait pas quand on en aura vraiment besoin.
Je ne voulais pas la rendre morose, mais je me devais d’être réaliste et, malheureusement, être préparée pour le pire demeure une tâche de chaque jour pour moi.

Nous avons poursuivi avec le reste de la journée et elle a lentement appris que sauter un repas lui coûtera une "cuillère", tout comme rester debout dans le train, ou même travailler trop longtemps à l’ordinateur sans pause. 
Elle a été forcée de faire des choix et de voir les choses différemment. Dans notre hypothèse, elle a dû choisir de ne pas faire de courses en rentrant de travailler pour avoir la force de souper ce soir-là.

Quand nous sommes arrivées à la fin de sa pseudo-journée, elle a dit qu’elle avait faim. Sommairement, je lui ai rappelé qu’il ne lui restait qu’une seule "cuillère". Si elle cuisinait, elle n’aurait pas assez d’énergie pour récurer les casseroles. Si elle allait au restaurant, il se pourrait qu’elle soit trop fatiguée pour pouvoir conduire prudemment jusqu’à la maison. J’ai ajouté que je n’irais pas jusqu’à inclure au jeu qu’elle aurait probablement la nausée, donc que cuisiner était hors de question. Alors, elle a décidé de réchauffer de la soupe en boîte. C’était facile.
Ensuite, je lui ai dit qu’il était maintenant 19 h seulement… et qu’elle avait le reste de la soirée, avec sa "cuillère", qu’elle pouvait faire quelque chose de plaisant, ou faire le ménage de son appartement, ou autre chose, mais qu’elle ne pouvait pas tout faire.

Mon amie exprime rarement ses émotions. Alors, lorsque j’ai vu à quel point elle était bouleversée, j’ai compris qu’à son tour elle avait compris. Je ne voulais pas la troubler, mais j’étais heureuse de penser que peut-être, finalement, quelqu’un me comprenait un peu. Elle avait des larmes dans les yeux quand elle m’a demandé doucement: "Christine, comment fais-tu? Fais-tu vraiment ça tous les jours?".
J’ai expliqué que certains jours étaient pires que d’autres, et que certains jours, j’avais plus de "cuillères" que d’autres. Mais ça ne disparaîtra jamais et je ne peux pas vivre sans y penser.
Je lui ai tendu une "cuillère" que j’avais gardée en réserve.
Je lui ai dit simplement: "J’ai appris à vivre ma vie en tentant d’avoir une "cuillère" supplémentaire dans ma poche, en réserve. Il faut toujours être prêt."

C’est difficile, la chose la plus dure que j’ai eue à apprendre a été de ralentir et de ne pas tout faire. Je me bats contre ça depuis tout ce temps. J’ai horreur de me sentir à part, de devoir choisir de rester à la maison, ou de ne pas faire les choses que je voudrais faire. Je voulais qu’elle ressente ma frustration. Je voulais qu’elle comprenne que tout ce que les autres font est facile, mais que pour moi, chaque chose est divisée en une multitude de petites tâches à accomplir. Je dois penser à la météo, à ma température, et la journée entière doit être planifiée avant même que je puisse attaquer la moindre tâche. Alors que les autres personnes peuvent faire les choses simplement, je dois attaquer et faire un plan, comme si j’étais une stratège planifiant une guerre. C’est dans cette façon de vivre que réside la différence entre être malade et être en santé. Il y a cette belle habileté de ne pas avoir à penser et pouvoir agir. Je m’ennuie de cette liberté. Je m’ennuie de ne pas avoir à compter mes "cuillères".

Ensuite, nous avons parlé de nos émotions et nous en avons discuté encore un peu.
Et j’ai senti qu’elle était triste. Peut-être avait-elle vraiment compris? Peut-être avait-elle réalisé qu’elle ne pourrait jamais dire honnêtement qu’elle comprenait vraiment?
Au moins maintenant, peut-être qu’elle ne se plaindrait plus lorsque je ne pouvais pas sortir le soir, ou parce que je n’allais jamais chez elle et qu’elle devait toujours venir chez moi. Je lui ai fait un câlin et nous sommes sorties du restaurant. Il me restait cette "cuillère" dans ma main et je lui ai dit: "Ne t’en fais pas. Je vois ceci comme une bénédiction. Je suis forcée de penser à tout ce que je fais. Sais-tu combien de "cuillères" les gens gaspillent chaque jour? Dans ma vie, il n’y a pas de place pour du temps perdu, pour des "cuillères" gaspillées et j’ai choisi de passer ce temps avec toi."

Depuis cette soirée, j’ai utilisé la "Théorie des cuillère" pour expliquer ma vie à plusieurs personnes. En fait, ma famille et mes amis se réfèrent toujours aux "cuillères". C’est devenu un code entre nous pour ce que je peux et ce que je ne peux pas faire. Dès que les gens comprennent la "Théorie des cuillères", ils semblent me comprendre un peu mieux et je crois qu’ils vivent également leur vie un peu différemment. Je crois que cette explication n’est pas uniquement utile pour comprendre le Lupus, mais également pour comprendre tous ceux vivant avec un handicap ou une maladie.
J’espère que les gens ne tiennent plus autant pour acquis leur vie. Je donne un morceau de moi, dans chaque sens du mot, quand je fais quoi que ce soit. C’est devenu une plaisanterie partagée avec mes proches, c’est une de mes maximes célèbres, lorsque je leur dis qu’ils devraient se compter chanceux quand je passe du temps avec eux, parce qu’ils ont une de mes "cuillères".

Le texte originel est ICI

15 04 19 ligne 1 rose

Je finis par une petite note humoristique

15 04 18 image-Chez le psy

 

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

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14 mai 2015

Juste un petit message...

... pour vous annoncer ceci:

je mets mon

15 05 14 Blog en pause 

J'attendais ce moment avec impatience car je suis en effet vraiment fatiguée, et j'ai des douleurs de plus en difficiles à supporter.

Il était donc plus que temps que ma cure thermale conventionnée par la CPAM,
et ma cure spéciale fibromyalgie arrivent.
Je précise que je paye cette dernière personnellement.
Mais, j'avoue que je me suis sentie si bien réconfortée l'an passé que je ne regrette aucunement de débourser encore cette année plus d'une centaine d'Euros.

15 05 15 gif papillon qui vole

Un petit tour dans le jardin et quelques fleurs avant de partir...

15 05 13 Ceanothe devant marches 15h39

Entrez!
C'est le Céanothe qui nous accueille.

15 05 13 15h38 Ceanothe entree

L'allée des Rosiers et des Grands Iris rhizomes bleus

15 05 10 14h55 Allee Iris & rosiers

15 05 13 15h35 Iris bleu & bouton rose

Pas de mois de mai sans Roses!
Celles-ci sont les toutes premières écloses.

15 05 13 15h33 Allee Rosiers & Grands Iris

15 05 10 Premiere rose 14h56

15 05 13 1er bouton rose jaune 15h36

15 05 13 15h35 Bouton rose

15 05 13 15h34 1ieres roses 15 05 13 15h35 Rose bicolore

20150513_153109-1 20150513_153122-1

15 05 10 12h26 Rosier grimpant parfume

♥ ♥ ♥  ♥ ♥ ♥  ♥ ♥ ♥

Mai, le mois des Roses.
Et le 14 mai, l'anniversaire de ma maman:
elle a fêté ses 93 ans ce jour.
Hélas, elle ne peut plus se lever!

15 05 12 Maman 93ans-2jrs-17h28 montage

♥ ♥ ♥  ♥ ♥ ♥  ♥ ♥ ♥

Lilas blanc dans ciel semi-azuré

15 05 10 Lilas 14h58

Panorama sur le jardin

15 05 13 15h17 Panorama jardin

15 05 13 15h20 Coin framboisiers

Azalée et dernières Tulipes

15 05 10 Azalee&Tulipes 12h25

15 05 13 14h42 Pelouse & rocaille

15 05 13 14h38 Azalee & Dimorphotecas

15 05 13 14h41 Azalee

15 05 10 12h24 Azalee-Iris-Dimorphoteca

Vue dans l'autre sens

15 05 13_14h39 Iris violet & vue sur jardin

15 05 13 14h41 Iris violet fonce

Azalée blanche

15 05 10 Azalee blanche 14h58

Fleurs de Sureau noir 

15 05 13 Insecte sur fleur sureau noir 15h38

Les Ixias

15 05 13 14h36 Ixias

15 05 13 14h38 Crocosmias

15 05 13 14h48 Fleurs Crocosmia 

Un second panorama

15 05 13 15h22 Panorama jardin

Des Dimorphotécas étoile polaire (Ostéospernums)

15 05 10 Dimorphoteca 12h22

Un bourdon qui butine sur des Géraniums vivaces

15 05 13 15h26 Bourdon sur geranium b15 05 13 15h27 Bourdon sur geranium

Des
 Iris bulbes

15 05 10 Iris & Azalee 12h2415 05 10 Iris jaune 14h56

Iris rhizomes -
Iris violet foncé & Iris bleu clair

15 05 10 Iris Pepe 12h2315 05 10 Grand iris rhizome bleu 14h58

Weigelia - Iris Japonica - Arums

15 05 13 14h51 Weigelia en fleurs&boutons

15 05 13 14h49 Branche weigelia fleurie

15 05 13 14h49 Fleurs de weigelia

Arum

15 05 13 14h49 Arum

15 05 15 gif papillon qui vole

- Le 8 mai,
réfection d'un parterre et pose de copeaux -

Cela faisait 8 mois que les copeaux m'attendaient...
J'ai absolument voulu les mettre en place avant de partir.
J'ai aussi retaillé aussi mes boules de Buis.<

- Bonjour le dos, les genoux, les épaules le lendemain.
D'où, une journée entière au lit pour s'en remettre! -

15 05 08 15h31 Refection parterre

15 05 08 Copeaux en place 17h16 15 05 10 14h54 Parterre refait

15 05 15 gif papillon qui vole

La terrasse est fermée...
Désolée, il est l'heure de vous en aller!

15 05 13 15h39 Terrasse sejour

15 05 13 Terrasse sejour 15h46

Je referme la porte.
L
a voisine a les clés de la maison et elle viendra un peu chaque jour s'occuper du jardin.
Et se faire des bouquets de fleurs!
Bien mérités, non!

15 05 06 19h50 Ceanothe&Caravane

♥ ♥ ♥ Fleur de Cyste ♥ ♥ ♥

15 05 06 12h45 Cyste

♥ ♥ ♥  ♥ ♥ ♥  ♥ ♥ ♥

Sur ce, je vous souhaite une bonne fin de mois de mai,
un bon mois de juin, et même, un bon début juillet.

♥ ♥ ♥   ♥ ♥ ♥

Je vous offre ces deux arcs en ciel du 6 mai au soir.
Mais oui, deux!
Regardez bien!
Un que l'on voit nettement,
le second que l'on devine.
Le temps que j'aille chercher mon mobile,
il avait pratiquement disparu.

15 05 06 19h46 Arc en ciel

15 05 06 19h47 Arc en ciel

Voyez,
la caravane est prête!

15 05 13 15h41 Caravane

Lorsque vous lirez cette page,
nous serons sur la route.
Direction les Thermes de St Laurent les Bains, en Ardèche .

4 jours pour y aller.
Nous, on roule "pépère" !
;-)

Bien entendu, Grimo est du voyage,
comme toujours!
=^..^=

""""""""" °°°°°°°°°°"""""""""
Ma cure commence le 22 mai.
Elle se termine le 19 juin.

Seulement,
nous ne serons de retour qu'un mois après la fin de celle-ci.

Nous allons en profiter pour traverser les Gorges du Verdon,
sur 4 jours environ.

Ensuite,
ce sera un petit séjour dans le Parc du Mercantour.
 

15 05 15 gif papillon qui vole
A plus tard donc !

15 05 10 15h01 Mamielol au jardin

15 05 10 Nicole 15h 

♥ ♥ ♥ Mamielol ♥ ♥ ♥ 

15 05 15 gif papillon qui vole
Mon retour l'an passé après ma cure ICI .

5 mai 2015

Le jardin en mai - 1 -

15 05 06 Les beaux jours arrivent
Lilas blanc

15 05 03 12h40 a

Les marches vers la l'abri de jardin et sa terrrasse

15 05 03 12h40 b

Parterre aux Iris rhizomes dans la rocaille

Et on continue sur la droite, vers le coin pelouse

15 05 03 12h40 d

Toujours plus à droite!

15 05 03 12h40 e

15 05 03 12h40 f Vue panoramique du jardin

Dimorphotécas étoile polaire ou Ostéospernum

15 05 03 Dimorphotécas 12h46
Géraniums vivaces

15 05 03 Geranium et bourdon

 Après la pluie, fleurs de Rhododendron

15 05 03 Rhododindron après la pluie b

15 05 06 lignes tulipes

Tulipes, Tulipes et Tulipes

15 05 03 Tulipes & Geranim 12h35

15 05 03 Tulipe rose 12h46

Et un bouquet de Lilas blanc pour la maison!
Et pour vous!

15 05 03 Lilas du jardin 12h42

4 mai 2015

Le jardin en avril - 3 -

Le jardin aura changé de couleurs
et de visage chaque jour du mois d'avril;
un régal pour les yeux!
Idem pour l'odorat!
Et pour l'ouie encore!
De nouveaux chants d'oiseaux sont arrivés,
celui des hirondelles!

Dans le jardin, tous nos sens sont en émoi.

15 05 04 ligne fleurs jaunes

Je vous emmène pour la troisième fois du mois avril dans les allées
pour y faire une petite balade.
Comme il a plu tout le 29, et toute la matinée du 30,
je n'ai pu aller prendre des photos qu'en fin de soirée.
Le spectacle est joli malgré tout, et les couleurs sont intenses.

C'est joli d'ailleurs les gouttes d'eau sur les fleurs,
tout autant sur le feuillage des arbustes.
Moi, j'aime bien!

15 05 04 ligne fleurs jaunes

Place aux images!
 Photos du 30 avril vers les 19 heures.

Pour vous accueillir,
une belle grosse touffe d'Iris bulbes

15 04 30 Parterres aux Iris 19h51 (2)

Jolis contrastes dans les couleurs,
n'est-il pas!

15 04 30 Rocailles sous la pluie 19h27

15 04 30 Jardin sous la pluie 19h48-001
On distingue une silhouette sur la vitre de la fenêtre, celle du milieu.
Si, si, regardez bien!
C'est moi qui prends mes fleurs en photo!
;-)

Celles-ci!
Des Tulipes et quelques tiges en boutons d'Euchères.

15 04 30 Jardin sous la pluie 19h50-001

Pauvre Rhododendron!
La pluie a bien rabattu ses branches.
J'espère que ses fleurs ne seront pas trop abîmées.

15 04 30 Rhodo sous la pluie 19h22
Celui-ci est un peu abrité par un Pommier arbustif,
donc moins endommagé.
Moins avancé dans sa floraison par contre!

15 04 30 Rhododendron blanc 12h45
Cette Azalée a une drôle d'allure elle aussi!

15 04 30 Azalee sous la pluie 19h27

Un Thym citron;
Je le coupe pratiquement à ras chaque automne.

15 04 30 Thym citron 19h22

Sur fond de Thlaspis,
un Iris bulbe jaune

15 04 30 Iris sur fond de Thlaspis 19h30

De haut en bas,
et de gauche à droite:
les fruits du Skimmia,
une fleur de Photinia,
une fleur de Lilas,
le Céanothe en fleurs.

15 04 30 Skimmia-Photinia-Lilas-Ceanothe 19h45

Voici une séquence "spéciale" de Tulipes

Des Tulipes naines perpétuelles:
elles refleurissent chaque année.

15 04 30 Tulipes naines 19h59

Une Tulipe dentelée couleur chocolat

15 04 30 Tulipe noire 19h27

Puis des Tulipes pivoines

15 04 30 Tulipes 19h24

Les dernières Tulipes épanouies;
superbes!
Magnifiques!

15 04 30 Tulipes roses 19h38

15 04 30 Tulipes roses & Geranium vivace 19h35

Un des quatre Lilas

15 04 30 Lilas 19h22

 Dessous le Pin parasol,
une tige d'Iris japonica

15 04 30 Iris Japonica sous pin parasol 19h27

 Et le 1er mai, dans ce parterre,
mon homme m'a cueilli quelques brins de Muguet 

15 04 30 Muguet 19h39

Je vous souhaite à toutes, et à tous,
un bon et joli mois de mai.

15 04 30 Muguet du jardin 19h40

A très bientôt!
Mamielol

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