Une toute petite avancée...sur "mon" Génération de brodeuses

Après le 4ième clap,
parce que les fêtes de fin d'année nous sont toujours à l'esprit
pour rester un peu dans leur ambiance...

le 5ième clap

Début de la frise
Une branche de houx... à boules!
Un renne
Le Père-Noël
Des cristaux de neige
La maison enneigée et décorée

Si,si!
La couronne est restée sur la porte,
et à l'intérieur, elle est emplie encore de jolies choses!

Un petit écureuil
enfin,
la corne d'abondance qui commence à se dessiner.

Papy-chapeau et Mamielol qui dansent...

A suivre...

Nous avons délaissé Justine depuis le 20 octobre.

Entre cette date et la mi-décembre,
je me suis un peu tenue dessus ma toile.

Voici exactement où j'en étais arrivée
puisque je ne l'ai pas reprise en mains depuis.

De plus près, quelques détails

Trois cœurs qui me donnent l'occasion
de vous parler un peu Histoire de France,
et de poursuivre notre visite de la basilique St Sauveur à Dinan.

C'est au-dessus de ce cénotaphe que repose le coeur
de Bertrand Du Guesclin,
dans le bras nord du transept.

Photo personnelle prise le 29 mai 2011

" - Du Guesclin avait souhaité que son corps reposât en Bretagne après sa mort. Pour exaucer son vœu et comme la route était longue et qu'il faisait chaud, on décida de l'embaumer. En l'absence des embaumeurs royaux, on éviscéra et décervela le corps qui fut baigné dans une mixture de vin et d'épices. Les viscères furent inhumées en l'église du couvent des Dominicains du Puy-en-Velay⁸. Mais l'effet escompté ne fut pas obtenu, et quelques jours plus tard, un nuage de mouches obscurcit le cortège, suivant de près la charrette sur laquelle le corps était déposé. A Montferrand, il fallut le faire bouillir dans un grand chaudron pour détacher les chairs du squelette. Les chairs furent inhumées au couvent des Cordeliers de Montferrand. Le squelette et le cœur poursuivirent leur route vers la Bretagne jusqu’à ce que le roi Charles V prît la décision de faire enterrer les ossements de son défunt connétable dans la basilique royale de Saint-Denis, aux côtés des rois de France. Sa sépulture, comme celles de la plupart des princes et dignitaires qui y reposaient, fut profanée par des révolutionnaires en 1793, comme le fut aussi le tombeau contenant ses chairs bouillies (à Montferrand).

Quant au tombeau qui contenait ses entrailles (église Saint-Laurent, au Puy), il échappa à la profanation : l'urne fut mise en dépôt à la mairie en vue de lui donner une sépulture laïque puis fut finalement replacée dans l'église Saint-Laurent avec son contenu ; ils y demeurent toujours⁸. Son cœur seul parvint en Bretagne où il fut déposé sous une dalle au couvent des Jacobins à Dinan. En 1810, la pierre tombale et l'urne contenant le cœur furent transférées dans l'église Saint-Sauveur de Dinan. Trois des quatre tombes sont encore visibles et ornées de monuments, celle de Montferrand ayant disparu lors de la Révolution française. Les gisants de Saint-Denis et celui du Puy permettent d'observer un personnage et un visage apparemment sculptés à la ressemblance du sujet, par ailleurs connu par des descriptions physiques et plusieurs miniatures contemporaines, insistant toutes sur la laideur et la pugnacité que révélait son visage.
Il existe à Chateauneuf-de-Randon (Lozère) et au lieu dit « L'Habitarelle » où se situait le campement de Du Guesclin au moment de sa mort, un cénotaphe construit par subvention et souscription nationales, dont le gisant reproduit celui du Puy⁸. - "

J'ai prélevé ces renseignements sur cette page, ICI .

Le confessionnal de la petite Justine

Un confessionnal, parmi d'autres,
toujours dans la basilique St sauveur

Photo personnelle prise le 29 mai 2011

" Comme tu peux le voir, Mario
je n'ai que légèrement progressé dessus ma toile.
Je vous attends, vous les copines qui brodez en même temps que moi,
pour poursuivre le tableau.
Cela me permet d'avancer sur autre chose,
doucement, mais sûrement. "

A suivre...

Je vous invite en ce début d'année à franchir un peu
la porte de mon jardin privé...

C'était,
il y aura tout juste demain,
10 ans et demi.

Je fêtais avec famille et amis mon cinquantième anniversaire.

Je fus très gâtée...

Entre autres,
par mon aînée...

qui m'offrit...
une grande et belle dame !

Cette grande dame aura passé dix années,
très sagement, sans bouger d'un pouce,
dessus ma table de chevet,
si ce n'est que pour que je puisse l'épousseter de temps en temps.

La robe au fil du temps,
s'était un peu piquée à l'arrière de sa traîne.

Grande crise de rires lorsque je la lui ai ôtée,
pour la laver.

Je n'avais pas imaginé un seul instant ma grande dame...
sous...
cet impressionnant profil !!!

Mais cela n'est pas très grave!
C'est une poupée et je l'aime beaucoup!

Mais elle m'a donnée à réfléchir...

Vrai, quelquefois, il ne faut pas se fier à l'extérieur !

Le dessous des gens,
même de ceux que l'on croit,
je dirais juste,

très gentils et bien comme il faut,

soit avec une apparence complaisante
pour se gratifier à vos yeux,

qui plus est,
lorsqu'ils font tout pour satisfaire pleinement votre coeur,
(sic!)

peuvent vous apporter un jour...

de réelles et de drôles de surprises,

bien des déceptions,

lorsqu'il leur prend l'idée d'enlever leur beau costume d'apparat.

Ils vous amènent alors de ces blessures,
qui auront forcément,
énormément de mal à se cicatriser,
dans votre Moi profond.

Heureux, on arrive à s'en sortir...
par l'ignorance!

Ni une, ni deux,
j'ai employé les grands moyens,
pour détacher la robe,
à mes risques et périls.

Je l'ai fait tremper toute entière dans un bain d'eau de Javel,
un peu dissoute tout de même,
pendant quelques minutes!

Miraculeusement,
la robe est redevenue aussi belle qu'aux premiers jours.

Et "ma grande dame" a pu reprendre sa place quelques jours plus tard,
avec une robe toute propre,
sans tâche aucune,
et après un léger remodelage de sa coiffure.

J'ai hésité un moment à la lui raccourcir sa robe.

Même mon homme la trouvait plus jolie avec ses gambettes à l'air...
Normal !

Tout compte fait,
j'ai préféré laisser la robe telle quelle:
si cela ne se voit pas,
ainsi,
elle cache mon radio-réveil !
;-)

Si je vous la présente "ma grande dame", ce jour,
cela n'est pas anodin du tout.

Tout le monde le sait:
j'aime les poupées!

Sauf que,
cette "grande dame",
c'est

,

 mon aînée,
ma grande,
qui me l'a offerte,
comme je vous l'ai dit plus haut,
il y a juste 10 ans et demi.

Et,

, justement,
ces derniers temps,
est tout simplement en train de nous le prouver...
à nous,
ses parents,
ses sœurs et beaux-frères,
encore à ses amies et amis,
que
elle aussi...
elle est une Grande Dame.

,

"Ma grande fille",
je te souhaite tout le bonheur du monde.

Et mes Meilleurs Vœux, pour cette année 2012,
je les adresse en tout premier lieu pour toi et ton chez toi.

Puis, bien entendu,
pour mes deux grandes petites-filles,
"tes grandes" à toi!

Je voudrais ajouter pour terminer ce jour, que j'ai reçu de nombreux messages me disant que je n'avais pas encore souhaité la Bonne Année, en ce début 2012, dessus mon blog. On s’en inquiétait quelque peu... Merci pour cela!

Juste pour celles qui se reconnaitront, je les envoie ICI .

Déjà, le titre de mon article voulait tout dire:
" Meilleurs vœux pour Noël... et plus! "

Il est vrai que je ne peux guère être présente dessus mon blog ces temps-ci et pour de multiples raisons. Mais ne vous inquiétez pas, je me soigne et je vais de mieux en mieux...

A bientôt,