"Ô l'amour d'une mère, amour que nul n'oublie! Pain merveilleux qu'un Dieu partage et multiplie! Table toujours servie au paternel foyer Chacun en a sa part et tous l'ont en entier!"
Victor Hugo( Feuilles d'automne I )
"Cliquez sur chacune des roses!" C'est ce que vous chante ce charmant petit rouge-gorge...
"Chantal, je sais que tu aimes
beaucoup les fleurs de magnolia. Alors... pour toi aujourd'hui !":
Un petit peu tout de même pour nos bonnes copines
:
Et puis, comme nous ne sommes pas avares, pour tous ceux qui passeront par ici et qui apprécient ce bel arbre :
*
Ce magnolia de trouve devant l'église St Malo de ma ville.
Pour la petite histoire
Il y eut une très forte tempête le soir du 10 aout 1969. Impossible que j'oublie la date! C'était le jour de mes fiançailles avec celui est toujours mon mari.
Ce magnifique magnolia en avait été déraciné. Une trop forte rafale de vent. C'est dire la grosse tempête!
Le maire de la ville à l'époque avait décrété:
"Il est trop joli cet arbre! Il ne doit pas mourir!"
Ainsi, l'arbre fut redressé, replanté, maintenu en terre par des tendeurs sur trois de ses côtés. Cela pendant plusieurs années durant.
Mais, au printemps suivant il redonnait déjà une parfaite floraison.
Le maire, tout content, avait fait placer une petite pancarte en bois, juste au pied de l'arbre et sur laquelle on pouvait lire:
"Il ne faut jamais désespérer."
Ce maire est décédé depuis. "Son" arbre est toujours debout!
La petite pancarte a disparu elle aussi depuis fort longtemps.
L'histoire de ce magnolia reste, quant à elle, bien gravée dans le coeur des personnes qui ont connu son histoire.
Et les habitants de la ville aime à raconter cette histoire véridique car pas du tout une légende, comme pourtant certains habitants le croient.
* J'ai pris mes photographies vendredi 3 avril. Cette année 2010, le magnolia a presque un mois de retard dans sa floraison par rapport à l'année passée.
Le chef est parti se coucher avec son journal il y a un bon quart d'heure… Il est sûrement en train de tomber dans les bras de Morphée car je
l’entends déjà respirer d'un demi-sommeil : la porte de notre chambre est restée entr’ouverte. Il faut dire que le chef doit être bien fatigué de son weekend !
Au cas où vous ne l'auriez compris, il n'est pas 9 heures 20 de la matinée.
Il est 9 heures 20… de la
soirée !
Moi, j'ai décidé de rester dans le séjour. Sa porte est grande ouverte sur le
couloir.
J’aime
ainsi me retrouver le
soir pour veiller, seule dans la maison, après l'agitation du jour. Souvent jusque près de minuit, voire plus tard dans la nuit.
Pour lors donc, je
suis dans le canapé, le dos bien calé dessus mon coussin en patchwork. En fait, mon coussin est un vieil oreiller
qui maintient bien comme il faut
celui qui sait tellement et tant me faire souffrir : mon dos ! Et depuis
quelques semaines,
je dois avouer qu’il travaille beaucoup sur sa peine qu’il m’inflige à
supporter. Mais, bon, c’est comme ça par moment, alors, je fais
avec, comme on pourrait dire !
J'ai les jambes allongées sur un deuxième petit coussin posé dessus la table du salon. Je me sens bien!
Mounoum le chat dort dans son fauteuil soit juste à côté de moi... Il a l'air de se sentir bien lui aussi...
Entre
mes mains file de la laine d'un vert très, très pâle. Je termine aux aiguilles
le deuxième d’une paire de petits bottons pour un nouveau-né, un petit garçon normalement, dont la naissance est prévue dans deux semaines.
Je
compte mes mailles, très attentive sur mon ouvrage, car je suis arrivée aux
diminutions pour la semelle.
Malgré une grande vigilance pour ne pas me tromper, un plein d’idées fusent dans ma tête et
fait que mon esprit vagabonde…
Je
repense à cet après midi...
Assise juste en face de moi, mon aînée, Sylvie, tirait
l’aiguille. Elle brodait ses dernières petites croix de la lettre « E ».
Elle convoite quatre petits
tableaux aux petits points de croix comptés qu’elle posera sur le mur devant le lit pour faire « R » « E » « V » « E »...
« Et
voilà , j'ai terminé mon « E » ! », lança-t-elle tout d'un coup.
J’aurais pu lui dire : « Le premier « E » ou le deuxième « E » ? ».
Pour plaisanter, bien entendu, puisque je savais que c’était sa deuxième lettre qu’elle brodait. J’avais entendu parler du
« R » précédemment. Mais ce « E », interchangeable pourrait bien devenir le dernier de son « REV E », non ?
Je
repense à ma petite-fille Anaëlle...
Je revoie notre partie de boules
miniatures que nous avons jouée ensemble. Oui, juste nous deux, après le repas de ce lundi midi.
Comme j’aurais eu
envie de me reposer après manger dans mon coin de canapé et prendre mon tricot ! Mais
je lui avais promis que nous jouerions dans les allées du jardin toutes les deux, s’il faisait beau dehors. Et il faisait un temps superbe ! Alors, bien
que mon dos me fasse fort mal, mais rien que pour lui apporter du plaisir, malgré tout, je lui avais
accordé notre partie.
« Tu me ramasses mes boules, Anaëlle ? ».
« D’accord Mamie! », m’avait-elle répondu.
C'est ce qu’elle fit ! Bien sûr... au
tout début du jeu !
Son plaisir de jouer, mais surtout de gagner au cours de la partie, et celui-ci devenant de plus en plus fort, elle en avait oublié
ma faiblesse...
Pourtant je ne l'avais laissé que jouer. Tant pis! Et, tant mieux si elle ne pensait plus
du tout à plus fragile et moins agile qu'elle ! Le principal étant qu’elle soit
heureuse de ne que jouer!
Sauf que je la laissai que jouer et pas rien que gagner! Parce que là, en l'occurrence, je gagnais! De peu, oui mais en définitif, j'ai gagné la partie!
( Je ne laisse jamais gagner mes petites-filles. Par principe! Si l'une d'entre-elles gagne au jeu contre moi, c'est qu'elle l'a amplement mérité et elle ne peut alors qu'en être très fière. Ce peut aussi être la chance qui tourne... Elles le savent et elles ont toujours accepté les, mes, enfin... ces règles qui sont devenues les nôtres. )
Je repense à la joie de Marine le dimanche midi…
Nous enlevions toutes les deux le nid de Pâques de sa boite
et nous le posons délicatement sur le plat à gâteau.
Je lui dis alors : « Ce soir, avec
Maman, Papa, tu manges aussi chez Mamie et Papy, et en plus... avec tes deux grandes cousines... ».
- « Quoi, « les cousines » sont
là ce soir ! Elles arrivent cet après-midi ! ».
Et la voilà de courir vers la salle à
manger, où ses parents et Papy attendaient impatiemment le dessert : « Maman,
Papa, vous saviez que « les cousines » seront là ce soir ?
- Mais oui, Marine !
- Oh, et personne ne me l’avait dit !
Qu'est-ce que c’est chouette ça, alors ! ».
Comme elle était alors heureuse !
Je
repense aussi à Amélie et Anaëlle, « les grandes cousines »...
En ce lundi matin, nous commencions la confection du gâteau… Enfin, je préparais et elles léchaient la pâte dans le bol mélangeur tout en chipant des petits morceaux de pommes avant coupées…
« Huumm ! Il va
être bon ton gâteau Mamie ! ».
Ah, quelles chipies !
Bon,
elles l'avaient bien mérité leur participation un peu spéciale. Et bien oui,
car au moment de mettre mes œufs dans la pâte :
« Oh ben mince,
les filles, il n’y a plus un seul œuf dans le buffet ! Comment on va
faire ? »
Et
elles étaient alors parties toutes les deux au magasin le plus proche pour m’en
acheter une demi-douzaine, et sans rechigner le moindrement. Faute de quoi, il était vrai, si pas d'œufs, pas de dessert fait maison pour le
midi ! Et elles savaient que j’avais bien mal au genou gauche et que je ne pouvais plus marcher beaucoup…
Ah, quelle prévenance quand même
de la part de ces petites-filles pour leur Mamie !
Je
leur ai donné à chacune deux euros pour leur peine. Ça le valait bien ! Tant pis si mes œufs allaient me coûter alors un peu plus cher !
Je
repense ainsi à tout plein de choses
déroulées au cours de ces deux jours...
Je
me dis aussi que j’ai bien de la chance.
Même si j’ai quelques
douleurs à droite et à gauche sur mon squelette, je possède une grande
richesse: celle d’avoir avec mon homme, ma petite famille réunie auprès de moi à chaque grande fête de l'année.
Oui, c'est vrai qu'il avait manqué cette année en ces Fêtes de Pâques, et pour la première fois chez nous, notre petite Marie,
soit notre dernière fille, avec son homme à elle, et notre petite-fille, la dernière, leur petite à eux deux. Elle nous avait
tout de même téléphoné le dimanche soir de chez les autres grands-parents de la petite Julie, la plus
boudettede la famille, puisque la plus petite aujourd'hui dans la famille. Marie nous avait dit ainsi qu’ils venaient
tous les trois d’ici deux weekends. Ce qui m’avait rendue bien joyeuse car
depuis la troisième semaine de février, elle devait avoir bien changée, la
« petite » puce à « sa » MamieNic!!!
C’est alors que j’en termine avec mes bottons...
Je
ne sens pas encore le sommeil venir.
Je ne
peux donc pas déjà aller me coucher!
Je
décide de commencer la brassière assortie à la paire de bottons...
Mon
catalogue…
La
lecture du modèle choisi…
Le montage des mailles …
C’est parti !
Et se poursuit la pérégrination de mes pensées...
Je
repense à la discussion de mes deux grandes le dimanche après manger...
Elles s’apprêtent à partir faire pendant une semaine à la fin du mois, leur Chemin de Compostelle. Le R E V E
de l'aînée !
Leur conversation allait donc bon train pour leurs tout derniers
préparatifs…
Je
repense à toutes les franches rigolades entre tous pendant le repas du midi et de celui
du soir…
Je
repense enfin et surtout à notre petite causerie au cours du repas du dimanche soir.
Parmi « les trois cousines », nous
avons deux petites-filles chez nous qui sont toujours pressées de
savoir ce qui va se passer « après ».
Ainsi,
elles auront mangé deux fois plus vite que tout le monde et nous demanderont de suite : « Et après? ». Comme nous n'en serons, nous autres, qu’à la moitié de ce nous avions dans notre assiette.
Pour garder les bonnes habitudes, ou par principe, nous
n'y avons pas échappé en ce dimanche soir de Pâques.
Mais cette fois, le Papy a répondu à celle qui a lancé cela la première dimanche : « Mais n’essaie donc pas
de savoir toujours ce qui va se passer « après »!
Et
moi, d’ajouter :
« Mais oui! Vis « maintenant » !
Pourquoi rechercher toujours « après » ? Vis le bonheur présent ! Ne vas pas le chercher « à plus
tard » ! Vis le, oui , et « au moment » où il se donne ! ».
Je
ne sais pas si elle aura compris ce que nous avons voulu lui faire
comprendre, nous, son Papy et sa Mamie.
Peut-être ? Peut-être pas ?
Ni, si nos remarques auront servi à sa cousine, aussi pressée!
Mais quoi ?...
Voici que nous sommes déjà mardi du 6 avril 2010 !
La
grande aiguille de l’horloge a fait 3 tours.
Elle est sur le 10.
Et la petite est sur le 12.
Que la maison est calme et
silencieuse!
Rien à voir par rapport à hier et à ces deux jours passés !
Le chef doit être maintenant dans les bras
de Morphée depuis au moins déjà trois bonnes heures... Je l’entends respirer et même de temps en temps respirer très fort... depuis la porte de notre chambre restée entr’ouverte.
Il
est présentement minuit, passé de 10 minutes.
Je commence à m'endormir...
Il est temps que j’aille à mon
tour rejoindre le lit…
Tout
cela pour dire que moi, hier au soir, je le vivais mon bonheur présent.
Pas
besoin de le chercher plus loin, ou ailleurs.
Il était présent,
là et bien dans mon
cœur !
Je ne recherchais pas l'
« après » .
Car moi,
j'aime plus à me remémorer celui que j'ai déjà vécu.
Réponse à la question de lundi 1er mars, et que je vous avais posé ICI .
**************** Si je veux placer cet article sur mon blog c'est pour vous mettre en garde et pour vous protéger afin qu'il ne vous arrive pas la même histoire, ni à vous, ni chez vous. ****************
J'ai eu tellement de trucs pas possibles et inimaginables à propos de
ma santé que je n'avais pas envie de me montrer à nouveau trop
souffrante auprès des miens: je n'aime déjà pas me plaindre et qui plus est, je cumule!
Donc, pour ne pas embêter mon petit monde, je ne parlais
uniquement qu'à mon médecin généraliste de tous mes problèmes au cours
des consultations pour le renouvellement des traitements que je dois
suivre.
Mais ces derniers temps, je n'en pouvais plus: c'en était trop!
J'ai commencé alors à en parler un peu chez nous.
D'autant qu'on me voyait souvent au lit,
preuve que je n'étais pas bien du tout.
****************
Mi-février, soit 15 jours avant la découverte de "La chose",
mon bon médecin généraliste mettait (comme d'habitude j'ose ajouter!),
sur le compte de plein "de choses" tous mes ennuis que je lui décrivais une énième
fois, et depuis fort longtemps!
De ma tension, pourtant très bonne avec un traitement! D'un manque de magnésium (peut-être ???). De la fatigue due à ma grippe
de fin décembre (???). De la fatigue suite aux 2 dernières opérations que j'avais eues il y aura 4 ans
bientôt: "Vous savez à un certain âge on récupère moins vite!". Ta, ta, ta!
Vrai, il aurait fallu qu'il lève son popotin de sa chaise...
Et vrai, c'était certainement beaucoup trop lui demander, sans aucun doute, de se déplacer de derrière son bureau, pour m'examiner!
Ainsi, j'ai dû retournée tout spécialement chez lui, vendredi soir 26, après mon travail, pour ne parler alorsque de ce qui me tracassait depuis si longtemps...
... ET QU'IL ME REGARDE L'INTÉRIEUR DE MON OREILLE GAUCHE!
Car moi, je restais persuadée
que tout venait de mon oreille gauche!
Je souffrais de trop et sans arrêt de la tête.
Cette fois-ci, seulement, il s'est donc levé!
Il m'a donc regardé l'oreille!
***
"Rien à droite!"me dit-il!
Je lui dis alors:
"Heureux, je vous dis que c'est du côté gauche!"
Il regarde donc à gauche...
Et là... sa réaction:
"Oh, mais, qu'est-ce que c'est que ça? Vous avez une tumeur dans l'oreille!"
Sic!
Et moi, qui sursaute car il me fait alors plus que mal dans le fond de l'oreille.
"C'est brillant, c'est plus gros qu'un gros petit pois, c'est juste sur le tympan. Et en plus... vous dites que je vous ai fait mal!"
Sic!
"Je n'avais pas vu ça, avant! Vous n'aviez rien du tout, avant!"
Sic!
"Avant quand? Vous n'avez jamais encore regardé mon oreille gauche! Cela fait plus de cinq ans que je vous dis que j'avais des drôles de choses qui se passait dans ma tête: des vertiges, des pertes d'équilibre.
Des bruits anormaux le jour!
Et la nuit, je n'ose même pas vous le répéter! Des maux de tête à répétitions, des poussées de température anormales, des envies de vomir souvent..."
Oui, vous avez bien lu: depuis plus de 5 (cinq) années!
Ah, il se trouvait bien embêté ce "cher" docteur!
****************
Aussitôt sortie du cabinet, rendez-vous demandé par moi/même chez l'ORL conseillé. On peut me prendre lundi 1er mars à 19H ou alors il faut que j'aille aux urgences...
Rendez-vous demandé, toujours par moi/même chez un second ORL.
Je n'ai pas d'à priori, je ne connais aucun ORL dans ma ville. S'il y avait bien une chose qui ne m'avait jamais trop embêté:mes oreilles! Juste deux otites, et il y a au moins 25 années!
Le second peut me prendre ce même lundi 1er mars, mais dès 9 heures 1/4 le matin. Soit 10 heures avant le premier, tout de même!
Et moi, je ne tiens plus, malgré les
anti-inflammatoires que mon estomac ne peut supporter. Certainement,
faute de trop en avoir avalés!
****************
Le Week-end dernier ne fut pas très heureux en mon fort intérieur: j'avais tout de même un peu peur. Ne pas regarder sur le Net m'aurait été salutaire parce que là, vous ne trouvez que le pire...
****************
Lundi matin, à l'heure du rendez-vous, une certaine appréhension tout de même... Normal!
Et puis...
voici ce que m'a enlevé en un tour de main un jeune, gentil et doux ORL...
"Mais qu'est-ce donc enfin, pensez-vous encore?"
Voici la réponse en images:
La partie du milieu du bout de caoutchouc!
Même si c'est bizarre,
c'est ainsi,
et je ne comprends pas, moi-même pourquoi juste celle-ci!
L'histoire de cette vilaine "Chose" qui m'aura fait si mal,
bien plus que du mal, pendant presque six (6) années donc.
De l'été 2004 à aujourd'hui!
Et sans inquiéter plus que cela un médecin!
****************
Petite histoire de "La chose"
En 2004, Daniel achète une caravane... pour nos vacances.
Quand
à moi...
je m'achète un baladeur!
Je voulais pouvoir écouter "ma" musique et la radio en vacances...
J'ai des petits
pavillons d'oreilles. Les écouteurs ordinaires sont trop grands pour moi.
Il est vrai aussi que je m'endors en écoutant la radio.
Et lorsque je me réveille, les écouteurs sont plus que souvent sortis de
mes oreilles.
Je choisis donc un modèle plus adaptable à ma situation.
Comme ceux que vous pouvez trouver ICI , par exemple.
J'ai certainement rangé un jour mes écouteurs sans faire attention qu'il
manquait un morceau.
Ce que je me rappelle seulement, c'est qu'un jour ils étaient décollés.
Et j'ai jeté le tout sans me pencher sur la question de savoir ce qu'était
devenu quoi...
J'avais
un autre exemplaire du même modèle mais je n'avais pas osé l'utiliser de peur qu'un morceau me reste dans l'oreille... vu la solidité du premier.
Puis les vacances se terminaient!
Après nos vacances, j'ai commencé à avoir des sifflements et des bourdonnements dans mon oreille G, puis au
fil du temps, de
plus en plus intenses.
Je suis migraineuse mais ce n'était plus pareil:
mes douleurs devenaient beaucoup plus violentes et de plus en plus fréquentes.
J'avais des vertiges.
J'avais
des poussées anormales de température après des efforts (jardinage,
ménage...) qui partaient aussi vite qu'elles étaient apparues.
Je dormais de plus en plus mal à cause de bruits dans mon oreille:
j'entendais "des paquebots" la nuit (si, si!),
après être restée trop longtemps couchée sur mon côté à moi, soit le gauche.
J'étais donc forcément de plus en plus fatiguée.
****************
Aujourd'hui, j'ai encore un peu mal au crâne.
J'ai encore quelques bourdonnements.
Mais l'ORL m'a dit que j'en avais pour un petit moment encore.
Je m'arme donc de patience.
Je pense que le plus pénible est largement passé.
Il était grand temps:
je crois que j'étais arrivée au bout du supportable pour moi.
Et simplement (hic!) à cause de cela sur le tympan de mon oreille gauche:
Je conçois que cette image n'est pas très ragoutante...
Mais elle est a au moins l'intérêt d'être très explicite.
Pour terminer, je vais vous ajouter celle-ci:
En ce qui me concerne, ces sacrés écouteurs m'auront soufflé plusieurs années de mon existence.
****************
J'espère que tout cela ne sera plus qu'un mauvais souvenir dans quelques temps.
****************
Depuis déjà un bon moment je me suis remise au bon vieux casque.
Si j'avais su, jamais, oh que non, je ne l'aurais abandonné!
Et que vive "ma" musique aujourd'hui! Car non, je ne saurais m'en passer!
Quant à mon médecin généraliste,
je vais bien entendu allez le revoir!
Pour lui donner la chance de s'expliquer...
Car il y a 4 ans, c'est moi qui avais déjà dû insister pour passer une urographie...
Et je ne voudrais pour rien au monde à l'avenir
ne repasser qu'un seul moment de ce qui en a suivi.
Pour moi, il n'est pas un bon professionnel.
Ou bien,
il se moque totalement de ses patients!
En tous les cas, je n'ai plus aucune confiance en lui!
Alors, de lui, je vais bien savoir me passer dorénavant!
"Comme je marchais sur la plage, au soir de ma vie avant de m'enfoncer dans l'Océan de Dieu, je me suis retourné et j'ai vu sur le sable l'empreinte de mes pas.
Chaque pas était un jour de ma vie et ils étaient tous là, aussi loin que pouvait monter mon regard.
Je les ai tous comptés et je les ai tous reconnus: les jours de joie et les jours d'angoisse, les pas assurés et ceux qui trébuchaient.
Du plus loin que j'ai vu, à côté de mes traces s'imprimait une trace jumelle et qui accompagnait jusqu'à mes derniers pas. C'était les pas de Dieu qui marchait côté à côte comme Il avait promis tout au long de ma vie. Comme un père accompagne son enfant, Il avait marché à mon pas.
Et comme je regardais ce long ruban de nos traces parallèles, il me sembla voir qu'à certains endroits il se rétrécissait et que seule une empreinte se lisait sur le sable. C'était l'empreinte des jours les plus noirs, ces jours de larmes, de souffrances et de deuil, lorsqu'on se sent seul et abandonné.
Seigneur, ai-je crié, où étais-tu lorsque j'ai tant pleuré? Pourquoi ne marchais-tu plus à mes côtés?
Et le Seigneur m'a répondu: "Mon enfant bien-aimé, l'unique trace que tu vois est la mienne car, à ces moments-là, moi, je te portais dans mes bras."
Adémar de BOROS
"C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière !" Edmond Rostand
"A bientôt Catherine! Prends soin de toi! Reviens nous faire coucou si tu en as besoin. Et de mon côté, je reste là pour toi à chaque fois que tu le souhaiteras. Je t'embrasse, Nicole."
Il n'y aura rien à gagner, je préfère le dire tout de suite.
Je vous montre ces deux photographies:
"La chose" de droite est identique à celle de gauche: "La chose" a juste changé de sens! A présent, auprès d'une aiguille à broder, pour comparer la grosseur de "La chose". Ceci parce que mon blog est tout de même visité par assez de brodeuses!
Maintenant, je vous laisse chercher ce que peut bien se trouver dessus ce morceau de papier cuisine.
Les commentaires étant modérés, vous ne serez pas influencés par une réponse précédente.
Je vous donne une semaine pour réfléchir...
Lorsque je vous aurai donné la réponse, je pense que vous serez surpris, voire effrayés...
Vous comprendrez alors pourquoi je tenais à vous montrer cette "chose".
Et au final, vous verrez que je suis prévenante pour les autres: pas la peine qu'il vous arrive la même "chose" ... qu'à moi!
Vous deviendrez méfiante, vous gagnerez peut-être du temps; enfin, vous éviterez de vous faire du souci mais surtout, vous éviterez aux vôtres de s'en faire aussi pour vous.
Allez, j'en ai déjà dit beaucoup pour vous mettre sur la voie.
Amusez-vous bien! Et pour finir, je tiens à montrer que j'ai retrouver mon humour. Celui-là que j'avais sans doute perdu... à cause de "La chose". Allez savoir!
A toutes fins utiles, rien à voir avec..."La chose"!